L’amour à nu
J’EN SUIS

Pasha (31 ans) : se remettre d’une dépression, les aventures bi et le réseautage

Pasha (31 ans) : se remettre d’une dépression, les aventures bi et le réseautage

Pasha a 31 ans, il vit entre Nizhny Novgorod et Moscou. Pour Pasha, Pure a été utile sur le plan professionnel et personnel. Il a même des histoires à nous raconter : une fois il est tombé amoureux d’un couple, une autre fois il est allé en blind date, et il a même rencontré une collègue sur l’appli.

C’est clair : on ne se lasse jamais de vous dire que Pure est ce que vous en faites. Aucune limite ici.

La dépression a quitté le chat 

Je suis né à Severodvinsk et j’ai vécu ici jusqu’à mes 25 ans : je me suis marié, j’ai divorcé, et puis je suis parti. Maintenant, je vis entre deux villes : Nizhny Novgorod et Moscou. J’ai commencé à utiliser Pure il y a deux ans quand ma dépression post-divorce a commencé à se calmer et que je me suis senti prêt pour recommencer à faire des rencontres. Depuis, Pure a été un indispensable sur mon téléphone et m’est utile périodiquement - j’arrête de me connecter quand je me mets en couple. 

Le réseautage 

Pasha (31 ans) : se remettre d’une dépression, les aventures bi et le réseautage.0. 1

Pure m’a été utile pour d’autres choses que le dating. Pour être honnête, j’ai rencontré beaucoup de mes clients actuels sur l’application. Je fais du consulting, et je ne peux pas dire que je suis fan de ces termes mais je suis mentor et coach : j’aide à développer et dynamiser des entreprises, des projets, des équipes. 

Ce n’était pas intentionnel : ça arrive toujours assez naturellement, et je n’ai aucune idée de comment. On me dit souvent que mon annonce est cool, on commence à discuter et à parler de nos boulots et puis, vous imaginez : « Oh, c’est super cool, raconte ! » Et c’est parti. 

Prépare-toi à des connexions inoubliables

Que tu cherches une aventure passionnée, une conversation sans complexes ou autre chose, nous te promettons une chose : ce qui se passe dans Pure reste dans Pure.

Le pourcentage de personnes intéressantes sur Pure est proche de 85%. 

Bonne soirée, collègue 

Mon tout premier date Pure s’est avéré être le plus étrange. J’ai rencontré une fille, qui avait les cheveux bouclés sur ses photos. Je ne savais pas vraiment pas vraiment qui elle était ni à quoi elle ressemblait. On avait rapidement discuté et décidé de se rencontrer. On a finalement parlé de boulot toute la soirée. Et aujourd’hui, on est collègues depuis deux ans ! On collabore, on consulte ensemble et on échange des directives l’un envers l’autre. La discussion la plus « intime » qu’on a jamais eue a porté sur nos exs et sur les règles basiques du dating cette fameuse première soirée. Jusqu’ici, ça a été ma relation Pure la plus stable.  

En général, il me semble que Pure est devenu une plateforme de communication avec une forme de « filtre » intégré : toutes les personnes ennuyeuses restent sur Tinder, et les intéressantes sont sur Pure. Je ne sais pas, j’ai peut-être juste eu de la chance, mais le pourcentage de personnes intéressantes que j’ai rencontrées sur Pure est proche de 85%. Bien sûr, il y a des discussions que je supprime presque immédiatement. Mais de façon générale, je ne me souviens d’aucune expérience déplaisante. La plupart des gens sont intelligents et sympathiques. 

Un rencard immersif 

Pasha (31 ans) : se remettre d’une dépression, les aventures bi et le réseautage.2. 1

A un moment, j’ai commencé à m’ennuyer. J’avais l’impression que ma vie amoureuse devenait Un jour sans fin. Alors j’ai eu l’idée d’une expérience qui allait m’aider à ressentir de l’excitation à nouveau : un rencard inversé, disons, avec une chronologie inversée. Cette fille et moi ne connaissions rien l’un sur l’autre, nous avions juste échangé quelques mots. On s’est mis d’accord pour se rencontrer dans un espèce d’exposition avec des installations visuelles. On s’est dit bonjour, on a grimpé sur ce balcon sombre derrière l’exposition et on a tenté de faire connaissance via le toucher : main sur main, visage sur visage. Ca s’est avéré être une expérience très immersive : c’est tellement intéressant de sentir quelqu’un sans la connaître ! Les sensations étaient fascinantes. On a ensuite quitté l’espace public et on est allées jusqu’au bout. Quand on a fini, on s’est dit « Hey, je m’appelle Anna », « Et moi c’est Pasha, enchanté ». 

C’est comme une scène de film : ils se tiennent là, l’un dans les bras de l’autre, en s’embrassant, et je réalise que je suis très contrarié - je ne voulais pas partir

Je ne voulais pas partir 

Pasha (31 ans) : se remettre d’une dépression, les aventures bi et le réseautage.3. 1

J’ai une histoire marrante sur comment je suis tombé amoureux d’un couple. Je ne sais même pas qui m’a le plus plu : lui ou elle. Habituellement, les gens sont plutôt timides à ce sujet, mais ils m’ont envoyé une photo et dit « Viens, on est deux ». C’était tentant : ils étaient si convaincants et ouverts. Je me suis dit qu’il y avait forcément un loup derrière ça ! Je n’avais aucune idée que les choses pouvaient être aussi simples. Une heure d’excitation et d’hésitation, et je me mettais en route. J’ai été accueilli par cette belle fille, très sympa : 

- Et où est le mec ? 
- Il est sous la douche, entre !  

Il est sorti de la douche. Au fil de la conversation, on était tous de plus en plus à l’aise et on a commencé à s’amuser. Il y a eu des moments fun où il m’a laissé seul avec la fille : « Fais tout ce que tu veux ». Et c’est ce qu’on a fait. Ensuite, il revenait, il s’asseyait à côté de moi et il nous regardait. A un moment, je me suis surpris à le regarder l’admirer elle : il soupirait et il observait à quel point elle était cool quand elle était en action.  

Ensuite, il était temps de rentrer chez moi. Je me suis rhabillé, j’ai regardé autour de moi - et c’était comme une scène de film : ils se tiennent là, l’un dans les bras de l’autre, en s’embrassant, et je réalise que je suis très contrarié. Je ne voulais pas partir. Je suis retourné chez moi. J’ai reniflé ma chemise pendant les trois jours suivants, en repensant à cette soirée.

POUR MOI PURE C’EST...

Le truc le plus cool sur Pure, c’est … 

L’ouverture, l’honnêteté. Au moins, c’est ce que j’essaye de diffuser. Et le design. 

Ton annonce qui a eu le plus de succès ? 

Je n’en ai eu qu’une - je ne la change pas vraiment. En plus de dire les choses les plus importantes sur moi, j’y dis : « J’ai mes limites et je respecterai les tiennes. » 

Quelle est la première chose que tu dis à ton sujet ? 

J’essaye de commencer avec un compliment, pour attirer la curiosité. Je parle rarement de moi - normalement, tout est dans mon annonce. 

Quel sujet éviter pour une toute première conversation ? 

Il n’y en a pas. 

Quels fantasmes as-tu réussi à réaliser avec quelqu’un de Pure ?

Des sujets émotionnels - immersifs, des scénarios qui peuvent être joués du point de vue des émotions. Je ne pense pas qu’il me reste quelque chose « d’indispensable » à réaliser. 

Qu’est-ce que tu n’as pas encore essayé et que tu ne veux pas essayer ? 

Quelque chose comme une proposition d’avoir un pied dans mon entrée arrière - définitivement non.  

Chez un.e partenaire potentiel.le, ce qui t’attire le plus c’est … 

Intérieurement - l’intelligence, extérieurement - les expressions faciales. 

Tu ne sortirais jamais avec quelqu’un qui … 

Exige quelque chose dès le début ou me fait me sentir redevable.  

Un conseil pour quelqu’un qui vient de télécharger l’application ?

Réfléchis soigneusement à ton annonce. Les filles m’ont souvent dit que beaucoup d’annonces de mecs sur Pure sont terrifiantes. 

Lena Borovaya

Copié
PARTAGER :

Plus de trucs cools

Livraison de fantasmes chauds

Nous t'enverrons des articles géniaux tous les mois.

En t'inscrivant, tu acceptes nos conditions générales, ainsi que notre politique de confidentialité.